les problèmes liés au solaire

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L’obligation de pose de panneaux photovoltaïques sur les grands parkings extérieurs adoptée au Sénat

Les sénateurs ont adopté ce 4 novembre l’article 11 du projet de loi sur l’accélération des énergies renouvelables, qui impose un équipement en ombrières photovoltaïques pour les parkings extérieurs de plus de 80 places.

La disposition devrait stimuler le développement de la production d’énergie solaire en France, notamment dans les grandes zones commerciales. Selon le gouvernement, le potentiel de la mesure pourrait atteindre jusqu’à 11 gigawatts, soit l’équivalent de la puissance d’une dizaine de réacteurs nucléaires. L’article 11 du projet de loi relatif à l’accélération des énergies renouvelables a été adopté par le Sénat ce 4 novembre en première lecture. Il impose l’équipement progressif des plus grands parkings extérieurs en ombrières recouvertes de panneaux photovoltaïque (ou un autre procédé d’énergie renouvelable), sur au moins la moitié de leur surface.

Initialement, le projet de loi s’appliquait aux parkings de plus de 2 500 mètres carrés. En commission, les sénateurs ont préféré définir un seuil en nombre de places plutôt qu’en superficie. Seront donc concernés les parkings de plus de 80 places, un seuil qui englobe davantage de parcs de stationnement puisque 2 500 mètres carrés équivalaient à une centaine d’emplacements. Pour le rapporteur (LR) Didier Mandelli, ce concept a le mérite de la clarté et surtout, d’être « moins sujet à débat », notamment sur les parties d’un parking à exclure de tout aménagement.

« Il est plus facile de compter des mètres carrés que de compter des places »

Le groupe communiste a tenté en vain de revenir au système métrique, arguant que les places pouvaient avoir des tailles variables. Ce point de vue était partagé par le gouvernement. « Il est clair qu’il est plus facile de compter des mètres carrés que de compter des places », a plaidé la ministre de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher, déplorant la « sophistication » de la rédaction sénatoriale.

Les obligations de l’article n’auraient pas à s’imposer en cas de contraintes techniques, sécuritaires, architecturales ou patrimoniales. Les dispositions entreront en vigueur au 1er juillet 2023, de façon progressive, en fonction de la taille des parkings. Les parkings de plus de 400 places devront être mis en conformité dans un délai de trois ans à compter de cette date, cinq ans si le nombre est compris entre 80 et 400.

Lors de l’examen en séance, le Sénat a ajouté de nouvelles exclusions. Des amendements de Nathalie Delattre (RDSE) et du centriste Stéphane Demilly excluent explicitement les parkings de poids lourds (de plus de 7,5 tonnes) du champ de l’obligation. L’obligation ne sera pas non plus valable pour les aires de stationnement à proximité de sites remarquables – qu’ils soient classés zones protégées ou non – pour éviter de les « dénaturer », selon l’amendement défendu par Cédric Vial (LR) et plusieurs de ses collègues. Le gouvernement s’est dit favorable à cette modification.

L’hémicycle supprime le délai supplémentaire accordé en cas de difficultés d’approvisionnement en panneaux

L’hémicycle a surtout adopté un amendement du groupe socialiste, supprimant la possibilité d’accorder un délai supplémentaire aux gestionnaires de parking en cas de difficulté d’approvisionnements en panneaux photovoltaïques. Cette disposition avait été introduite lors des débats en commission, le rapporteur Didier Mandelli parlant d’un « apport de bon sens ». À l’inverse, Jean-Michel Houllegatte (PS) a dénoncé une modification « un peu défaitiste », qui revient à « battre en retraite ». Le gouvernement a lui-même soutenu l’amendement des socialistes, bien qu’il ait reconnu que le développement d’une filière française et européenne prendrait du temps. « Néanmoins, dans l’attente, il ne faut pas retarder la mise en œuvre de la décarbonation de notre économie », a encouragé Agnès Pannier-Runacher. La tournure du débat a fait réagir à droite, qui s’est retrouvée en minorité. « On souhaiterait qu’on puisse se donner des moyens, plutôt que des incantations, pour y arriver », a rétorqué le sénateur LR Cédric Vial.

L’un de ses collègues, Rémy Pointereau, a considéré que cet article du projet de loi allait bénéficier dans l’immédiat à des lignes de production situées hors Union européenne. « J’ai l’impression que toute l’Asie, et en particulier la Chine, doit se réjouir ce matin de voir qu’on va mettre peut-être des milliers d’hectares de panneaux photovoltaïques, qui vont être produits en Chine, en Malaisie, aux Philippines. Notre balance commerciale va encore prendre un sacré coup ! »

La CRE publie des cahiers des charges adaptés afin d’accélérer le déploiement des EnR en France

Sur saisine du gouvernement, la Commission de Régulation de l’Energie a publié mardi 30 août une version adaptée de l’ensemble des cahiers des charges des appels d’offres dit « CRE 4 » et « PPE 2 ». Il s’agit d’une mesure exceptionnelle liée à la crise énergétique. Cette mesure permettra la mise en service rapide des 6 GW de projets de production renouvelable lauréats de ces appels d’offres, aujourd’hui en difficulté.

Ces modifications concernent 17 cahiers des charges de différentes sources ENR : photovoltaïques, éoliennes, hydroélectriques et autoconsommation, en métropole et dans les zones non interconnectées. L’objectif général de ces modifications est de permettre aux producteurs d’amortir une partie de la hausse des coûts et des taux, notamment par la vente sur le marché de leur production dès à présent, avant la prise d’effet de leur contrat de soutien.

Plus de 6,1 GW de capacités ENR visés par cette mesure

Il est également prévu une prolongation des délais d’achèvement des installations ainsi que la possibilité pour les lauréats de procéder à une modification de la puissance à hauteur de 140 % de la puissance initiale retenue dans l’appel d’offres.

Plus de 6,1 GW de capacités ENR sont visés par cette mesure, dont 3,4 GW pour l’éolien et 2,7 GW pour le photovoltaïque. Dès le 1er septembre, les producteurs concernés pourront demander à la ministre chargée de l’énergie l’application de ces modifications. La CRE se félicite de ce dispositif permettant de renforcer et d’accélérer le déploiement des ENR dans un contexte de crise d’approvisionnement en électricité.

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AGRIVOLTAÏSME : LA PLATEFORME VERTE PRÉSENTE 15 RECOMMANDATIONS

A l’occasion d’un événement réunissant les acteurs de la transition énergétique et agricole, La Plateforme Verte a présenté 15 recommandations pour un agrivoltaïsme préservant l’activité agricole.

La Plateforme Verte est une association professionnelle dédiée à la transition énergétique. Créée en 2018 par Sylvie Perrin, avocate associée chez De Gaulle Fleurance et Associés, l’association regroupe une centaine de membres, dont plus de 70 producteurs et développeurs, des banques, des investisseurs, des institutionnels, experts techniques et financiers, des avocats et conseils divers.

Sylvie Perrin, présidente de La Plateforme Verte (LPV) et Pierre Guerrier, animateur du Groupe de Travail LPV dédié à l’agrivoltaïsme ont rappelé que la Programmation Pluriannuelle de l’Energie prévoit de quadrupler l’électricité photovoltaïque d’ici 2028 et de la porter à 40 GW. De son côté, l’agriculture est marquée par un décrochage du revenu des agriculteurs, par ailleurs de moins en moins nombreux, une diminution des terres agricoles ainsi qu’une baisse de la production alimentaire liée au réchauffement climatique.

Dans ce contexte, l’agrivoltaïsme peut apporter une réponse aux enjeux de l’agriculture française, s’il se décline en projets dont la conception est prioritairement agricole et connectée aux besoins du territoire d’implantation. Sans encadrement ni concertation avec les acteurs locaux, le risque que les intérêts économiques privés (énergéticien d’un côté, propriétaire foncier de l’autre) l’emportent sur l’intérêt collectif est réel avec une agriculture qui pourrait s’en trouver dégradée, avertit LPV.

Forte de ce constat, La Plateforme Verte formule 15 recommandations pour un agrivoltaïsme préservant les conditions de production agricole. Elle propose notamment d’élargir les filières éligibles à l’agrivoltaïsme et la puissance maximale des projets actuellement soutenus au titre de l’innovation (de 3 à 5 MWc), mais d’abaisser de 5 à 1 hectare le seuil de prélèvement qui déclenche l’Etude Préalable Agricole. Parmi les autres propositions phares : la possibilité de préserver les aides de la PAC, l’attribution d’un bonus de pertinence agrivoltaïque dans les appels d’offres PPE, l’inclusion de l’agrivoltaïsme dans la planification territoriale des collectivités sans artificialisation des sols ainsi qu’un encadrement des loyers et un juste partage de la valeur générée par le projet.

Télécharger le document qui détaille les 15 recommandations de La Plateforme Verte

Verbatim

EVA Vandest, présidente du groupe de travail européen de Solar Power pole Europe : « Les investissements du secteur photovoltaïque peuvent être un formidable accélérateur de la décarbonation du secteur agricole ».

Xavier Daval, vice-Président du Syndicat des Energies Renouvelables (SER) et président de la commission Solaire : « Afin de s’intégrer au sein de projets agricoles, l’agrivoltaïsme doit se faire en concertation avec l’exploitant agricole et son écosystème, dans le respect des productions agricoles et des paysages de nos territoires. Ces innovations doivent rentrer dans le droit commun (appel d’offres classiques) ».

Aimé Boscq, chargé de mission PV Energie chez Enerplan : « Les projets photovoltaïques sur terres agricoles n’ont pas vocation à se substituer à la production agricole, mais bien à trouver une synergie entre une production photovoltaïque et une production agricole ».

Nicolas Tonnet, responsable innovation et énergie dans les systèmes agricoles à l’ADEME : « Il importe de rendre obligatoire la capitalisation des retours d’expérience et des suivis agronomiques et zootechniques des projets autorisés en France, et donner la compétence de cette collecte à un organisme public de type observatoire. Cela permettra d’améliorer le diagnostic de la performance des installations sur terrains agricoles, et ainsi disposer d’éléments concrets pour d’éventuelles réglementations futures ou affiner les recommandations ».

La Plateforme Verte est constituée sous forme d’association Loi 1901 et ouverte aux demandes d’adhésion, via sa page LinkedIn ou son site internet.

Un système agrivoltaïque mobile venu des Pays-Bas

Créée par un groupe néerlandais d’entreprises, la remorque solaire mobile peut également être associée à un électrolyseur pour la production d’hydrogène. Deux prototypes sont actuellement testés par un agriculteur et un institut de recherche aux Pays-Bas.

Un consortium néerlandais a développé une remorque agrivoltaïque mobile censée améliorer la qualité du sol et la biodiversité des champs agricoles. L’objectif de ce système autonome appelé H2arvester est de diminuer l’emprise au sol et de suivre la rotation des cultures sur l’année. Le premier prototype a été déployé sur des terres de betteraves à sucre à Oude-Tonge, en Hollande méridionale, et a été inauguré la semaine dernière par le ministre de l’Agriculture des Pays-Bas, Henk Staghouwer.

« Ce concept a été mis au point il y a quatre ans par mon entreprise et deux autres partenaires », a rappelé  Marcel Vroom, responsable de la conception et du développement commercial chez le prestataire de services de conception Npk design. Ces deux autres entreprises sont L’orèl Consultancy et LTO Noord. Pour l’heure, deux pilotes sont testés et fonctionneront pendant un an pour tester l’effet sur le rendement et la terre, afin de démontrer qu’il n’y a pas de perte de production agricole.

L’agriculteur local Jacob Jan Dogterom a investi 166 000 € dans le système situé à Oude-Tonge, qui se compose de quatre remorques solaires accueillant un total de 168 panneaux solaires et d’un système d’irrigation qui peut également fournir de l’eau aux environs. InnovationQuarter, l’agence de développement économique régional de la province de Zuid-Holland, a subventionné environ la moitié des coûts du projet. « C’est un projet pilote, l’investissement est loin d’être complet. Nous continuerons à le construire et si nous parvenons à le développer à une échelle de masse, il ne pourra que devenir moins cher », a assuré le consortium.

Chaque remorque mesure 12 mètres de long et est capable de se déplacer lentement, à un rythme de 10 mètres par heure, et, pendant la récolte, elle peut être déplacée sur le côté. Selon son concepteur, le système devrait couvrir jusqu’à 10 % d’un champ agricole, qui ne perdrait donc pas sa vocation agricole. « Il s’agit de matrices mobiles de panneaux solaires, assemblées sur des structures légères et supportées par des roues, qui se déplacent dans des directions prédéfinies », a ajouté M. Vroom.

L’autre intérêt du système est de pouvoir être couplé à un électrolyseur pour produire de l’hydrogène localement, qui pourrait ensuite être utilisé comme carburant vert pour les applications agricoles. « La chaleur résiduelle issue de la production d’hydrogène peut également être utilisée pour sécher les cultures, telles que l’avoine, l’herbe et la luzerne. La solution consistant à convertir directement les kWh générés en hydrogène fournit non seulement une usine de production autonome, mais répond également au besoin d’équilibrer la production et l’utilisation de l’énergie générée sans se soucier des renforcements du réseau électrique », a déclaré Robert Jacobs, spécialiste de l’énergie chez L’orèl Consultancy.

Le projet fait partie du programme H2GO, qui est un programme d’innovation soutenant la combinaison de l’électricité et de l’hydrogène vert. Les partenaires du projet sont, entre autres, Kitepower, Npk design, L’orèl Consultancy, Rho, Accenda et TU Delft.

Solution industrielle de stockage pour les énergies recouvrables

Battery Supplies a développé spécialement pour les PME, l’AQ-LITH® EnergyRack. Cette batterie – disponible en 30 et 46 kWh – convient aux établissements dont la consommation annuelle est inférieure à 100 MWh.

Elle se compose de plusieurs modules de 5kWh 48V et est installée dans une solide armoire fermée avec climatisation intégrée. La batterie AQ-LITH® EnergyRack abrite des cellules LiFePO4, qui garantissent une durée de vie plus longue et un niveau de sécurité élevé.

plus d’informations…

Sharp lance un module PV biverre bifacial de 540 W

Sharp annonce le lancement d’un nouveau module photovoltaïque biverre et bifacial à demi-cellules en silicium monocristallin. A destination des centrales solaires commerciales et publiques !

Le nouveau panneau Sharp  — le NB-JD540 — affiche une puissance de 540 W. Destiné à des centrales solaires commerciales et publiques, ce module offre un coût actualisé d’électricité (LCOE) plus faible, et un meilleur retour sur investissement. Selon les conditions sur place, la technologie bifaciale peut améliorer la puissance de sortie de panneaux solaires de jusqu’à 25 %.

Une puissance de sortie élevée

Le NB-JD540 affiche une efficacité de 20,9 % et dispose de 144 demi-cellules (plaquettes de format M10). Il supporte une tension maximale de 1 500 V, et est doté de réflecteurs blancs imprimés dans les interstices des cellules de la face arrière, afin d’améliorer l’absorption de lumière de la face avant. Son coefficient de température de -0,349 %/°C pour sa puissance de sortie annoncée garantit de solides performances à des températures élevées, un paramètre de plus en plus important compte tenu du dérèglement climatique et des hausses qui en résultent.

Haute fiabilité

Son film d’encapsulation haute performance créé par un mélange d’éthylène-acétate de vinyle (EVA) et de polyoléfines (PEO) permet de prévenir la dégradation induite par le potentiel (PID) affectant la face arrière des modules bifaciaux. Le nouveau panneau est doté d’un système à 10 jeux de barres et de conducteurs ronds.

Cette configuration améliore le gain de puissance de chaque cellule, et les rend moins sensibles au risque de microfissures, augmentant ainsi la fiabilité du module. Comme l’ensemble des modules à demi-cellules de Sharp, il dispose de trois petits boîtiers de raccordement (au lieu d’un seul), ces derniers étant tous équipés d’une diode dérivation. Ces boîtiers transfèrent ainsi moins de chaleur vers les cellules, ce qui permet de prolonger la durée de vie des panneaux et d’améliorer les performances globales du système.

La sûreté, la qualité et la durabilité du panneau ont été certifiées par la Commission électrotechnique internationale (normes IEC61215 et IEC61730). Le module a été rigoureusement testé dans le but de contrôler sa conformité avec des normes internationales, et de vérifier sa résistance à des conditions extrêmes (ammoniaque, brouillard salin, sable et résistance à la dégradation induite par le potentiel). Ses dimensions sont de 2 278 x 1 134 mm, et est doté d’un son cadre en aluminium de 30 mm d’épaisseur. Les couches de verre à l’avant et à l’arrière mesurent chacune 2 mm d’épaisseur, et le module pèse au total 32,5 kg.

Une garantie linéaire de 30 ans

Enfin, le panneau est également fourni avec une garantie linéaire de 30 ans sur la puissance nominale, et une garantie produit de 15 ans pour les clients de l’Union européenne et de plusieurs autres pays. Ces garanties courent à partir de la livraison au client final. Andrew Lee, directeur commercial de Sharp Energy Solutions pour l’Europe : « Nous sommes ravis d’élargir notre gamme de modules bifaciaux à demi-cellules de 540 W et d’offrir à nos clients d’excellentes performances, avec un coût actualisé de l’électricité plus faible, et un meilleur retour investissement pour les projets de centrales solaires commerciales et publiques.

Nos panneaux impressionnent grâce à la puissance de sortie supplémentaire offerte par leur face arrière et leurs performances, qui permettent de réduire notre dépendance vis-à-vis des sources d’énergie conventionnelles, et de lutter contre le dérèglement climatique. »

REC Group présentera son tout dernier panneau solaire à l’occasion du salon Intersolar Europe

Dans la droite ligne des prouesses technologiques de REC, le nouveau panneau, dernier né de la marque, offrira une puissance nominale encore plus élevée pour les installations sur toiture.

Basée en Norvège, REC Group, société internationale pionnière dans le domaine de l’énergie solaire, lancera un nouveau panneau solaire haute efficacité à l’occasion du salon Intersolar Europe 2022 qui se tiendra le 11 mai. Grâce à cette nouvelle innovation à densité de puissance élevée, les clients auront les moyens d’optimiser le rendement de leur installation sur toiture et de gagner en indépendance énergétique. La production de ce nouveau panneau devrait débuter en août 2022 sur le site Industrie 4.0 de REC situé à Singapour.

Nouveau chapitre pour l’innovation

Grâce à ce panneau solaire de toute dernière génération, la marque de panneaux solaires la plus importante d’Europe assoit une nouvelle fois le positionnement de chef de file qu’elle occupe depuis 25 ans. Le REC Alpha Series, panneau solaire 60 cellules le plus puissant au monde, a été lancé lors d’une présentation exceptionnelle à l’occasion du salon Intersolar Europe 2019. Ce faisant, REC a pris l’audacieuse décision de produire massivement des cellules et panneaux solaires s’appuyant sur l’une des technologies de cellules les plus avancées, l’hétérojonction (HJT).

En 2021, REC a ensuite commercialisé le panneau REC Alpha Pure, un panneau de nouvelle génération affichant une densité de puissance et une durabilité toujours plus élevées, la marque ayant par ailleurs éliminé le plomb pour proposer le premier panneau solaire conforme à la directive RoHS de sa gamme. En 2022, REC écrit un nouveau chapitre. Les détails complets concernant ce nouveau produit seront révélés à l’occasion de l’événement de lancement officiel qui se déroulera le 11 mai à 16h sur le stand A2.380 de REC, mais les principaux avantages sont clairs et en droite ligne avec les valeurs de REC : allier densité de puissance élevée et pratiques durables pour donner les moyens aux particuliers et aux entreprises de gagner en indépendance énergétique tout en ayant un impact significatif sur la protection de l’environnement.

Une source d’inspiration pour l’industrie

Innover de manière audacieuse est aujourd’hui plus important que jamais. Selon Jan Enno Bicker, Chief Executive Officer chez REC : « Avec l’essor de la lutte contre le changement climatique et du rôle du photovoltaïque, nous avons besoin de renforcer la durabilité de nos produits. Les innovations audacieuses qui optimisent les densités de puissance et le rendement énergétique tout au long du cycle de vie d’une installation sont essentielles pour compenser les émissions de CO2. REC s’attelle en permanence à réduire sa propre consommation de ressources, en éliminant les matériaux dangereux et en favorisant la circularité. L’ensemble de nos produits sont une véritable incarnation de ces principes et nous sommes convaincus que cette vision responsable inspirera l’ensemble de l’industrie solaire ».


Premier lancement live depuis 2019

Événement très attendu, il s’agira en effet du premier lancement que REC organisera lors d’un salon depuis trois ans. L’année 2022 sera également celle du tout premier événement en présentiel depuis 2019 et promet un retour vers l’effervescence et l’énergie qui imprègnent habituellement le salon le plus important d’Europe dédié à l’industrie solaire. REC prévoit des initiatives des plus inspirantes pour contribuer à la réussite de cet événement !

Amazon renforce sa position de plus grand acheteur privé d’énergie renouvelable au monde

37 nouveaux projets d’énergies renouvelables totalisant 3,5 GW de capacité d’énergie propre ! Amazon est sur la bonne voie pour atteindre 100 % d’énergie renouvelable d’ici 2025, cinq ans plus tôt que l’objectif initial de 2030. Trajectoire.  

Amazon a annonce le 20 avril dernier le lancement de 37 nouveaux projets d’énergie renouvelable dans le monde, dont en France et en Espagne, permettant à l’entreprise de se rapprocher de son objectif à savoir alimenter 100 % de ses opérations en énergies renouvelables d’ici 2025, avec 5 ans d’avance sur l’objectif initial fixé à 2030. Les nouveaux projets augmentent la capacité d’énergie renouvelable de près de 30 %, passant de 12,2 gigawatts (GW) à 15,7 GW, et portant le nombre total de projets d’énergies renouvelables à 310 dans 19 pays.

Plus grand acheteur privé d’énergie renouvelable au monde

Ces 3,5 GW supplémentaires d’énergies propres renforcent la position d’Amazon en tant que plus grand acheteur privé d’énergie renouvelable au monde, en phase avec ses efforts pour respecter The Climate Pledge, un engagement à être zéro carbone d’ici 2040 – avec 10 ans d’avance sur l’Accord de Paris. “Notre engagement à protéger la planète et à limiter l’impact d’Amazon sur l’environnement nous a conduit à devenir le plus grand acheteur privé d’énergie renouvelable au monde en 2020 et 2021. Compte tenu de la croissance de notre entreprise et de notre volonté d’opérer 100% des activités d’Amazon avec des énergies renouvelables, nous ne ralentissons pas nos investissements dans les énergies renouvelables », a déclaré Andy Jassy, PDG d’Amazon. “Nous avons maintenant 310 projets éoliens et solaires répartis dans 19 pays et nous travaillons dur pour atteindre notre objectif d’alimenter 100 % de nos activités en énergies renouvelables d’ici 2025, cinq ans avant notre objectif initial de 2030.”

26 nouveaux parcs solaires et huit nouvelles installations solaires sur les toits

Les 37 nouveaux projets annoncés aujourd’hui sont situés en France, aux États-Unis, en Espagne, en Australie, au Canada, en Inde, au Japon et aux Émirats arabes unis. Ils varient en type et en taille, avec trois nouveaux parcs éoliens, 26 nouveaux parcs solaires et huit nouvelles installations solaires sur les toits de ses bâtiments à travers le monde. Grâce à ces projets, Amazon compte désormais un total de 310 projets d’énergie renouvelable, dont 134 parcs éoliens et solaires et 176 projets solaires sur les toits. Une fois mis en service, les 310 projets d’Amazon produiront 42 000 gigawatts par heure (GWh) d’énergie renouvelable chaque année, soit suffisamment d’électricité pour alimenter plus de 11 millions de foyers européens par an. L’énergie zéro carbone ainsi produite contribuera également à éviter l’émission de 17,3 millions de tonnes de CO2 par an, soit l’équivalent des émissions annuelles de plus de 3,7 millions de véhicules aux USA.

Amazon va doubler sa capacité de stockage d’énergie solaire

Amazon continue également d’investir dans des projets d’énergies renouvelables associés au stockage d’énergie. Les systèmes de stockage d’énergie permettent à Amazon de stocker l’énergie propre produite par ses projets solaires et de la déployer lorsque l’énergie solaire n’est pas disponible, comme le soir ou pendant les périodes de forte demande. Cela renforce l’impact climatique du portefeuille d’énergie propre d’Amazon en permettant une électricité sans carbone à plusieurs moments de la journée. Deux nouveaux projets vont ainsi venir doubler la capacité de stockage d’énergie solaire d’Amazon, passant de 220 MW à 445 MW : un projet solaire de 300 MW avec 150 MW de capacité de stockage dans l’Arizona et un autre de 150 MW avec 75 MW de capacité de stockage en Californie.

« Amazon continue d’être une référence dans le déploiement rapide de projets d’énergie renouvelable ici aux ÉtatsUnis. Cela inclut de plus en plus de projets hybrides qui associent le stockage d’énergie à la production d’énergie renouvelable, libérant ainsi la capacité d’utiliser une énergie propre et fiable à toutes les heures de la journée », a déclaré Heather Zichal PDG de l’American Clean Power Association (ACP).


De plus amples détails sur la série de projets d’EnR annoncés

• Un deuxième projet d’énergies renouvelables en France :

Amazon annonce son deuxième projet d’énergie solaire en France, portant à 38 MW la capacité d’approvisionnement en énergies renouvelables dans l’Hexagone.

• Cinq nouveaux projets en Espagne :

ces projets d’une capacité de 314 MW portent à 1,4 GW la capacité de production d’énergies renouvelables d’Amazon en Espagne. Il s’agit de trois projets de parcs solaires et de deux projets de parcs éoliens, pour un nombre total de 14 installations de production d’énergies renouvelables en Espagne.

• 23 projets aux États-Unis, répartis dans 13 états :

ces projets augmentent sa capacité d’approvisionnement en énergie propre aux États-Unis de 7,2 GW à 10,4 GW. Ils incluent notamment le plus grand projet d’énergies renouvelables annoncé à ce jour par Amazon en termes de capacité, à savoir un parc solaire au Texas de 500 MW, ainsi que le premier projet d’énergies renouvelables lancé par l’entreprise dans le Missouri. Les autres projets se trouvent dans les États suivants : Arizona, Arkansas, Californie, Delaware, Georgia, Illinois, Indiana, Mississippi, Ohio, Oklahoma et Virginie.

• Huit projets solaires supplémentaires sur sites :

Amazon annonce son premier projet solaire sur site aux Émirats arabes unis, d’une capacité de 2,7 MW à Dubaï ainsi que sept autres projets solaires en Australie, au Canada, en Inde et au Japon totalisant plus de 5 MW de capacité d’énergie propre. Retrouvez les projets de production d’énergies renouvelables d’Amazon dans le monde sur la carte interactive.