A Vos agendas : 1ère journée du solaire en Région PACA le 21 mars

A Vos agendas

Nous organisons la 1ère journée du solaire en Région PACA.

Merci de prendre contact avec moi si vous êtes intéressés car le nombre de place est limité !!!   si vous ne visualisez pas ,voici l’information en format PDF : JDS PACA comp

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Le sort de l’autoconsommation collective se joue en ce moment à l’Assemblée nationale

Le sort de l’autoconsommation collective se joue en ce moment à l’Assemblée nationale

Barbara_Pompili
On se souviens du discours de Sébastien Lecornu, alors secrétaire d’Etat à l’écologie, le 28 juin 2018. Il présentait entre autres mesures du programme « place au soleil » l’augmentation du périmètre de l’autoconsommation collective. Il allait être désormais possible d’échanger l’électricité solaire entre voisins dans un rayon d’un kilomètre…

Dans la foulée, des sénateurs déposaient un amendement à la loi ELAN, qui fut adopté avec le soutien du gouvernement. La cause semblait entendue. C’était sans compter avec la commission paritaire mixte, qui réunit sept Députés et sept Sénateurs, pour trancher les articles adoptés de façon différente par les deux assemblées. A l’issue de cette commission l’amendement sénatorial fut supprimé !

Il fallait donc tout recommencer et c’est la loi PACTE, en cours de discussion, qui fut choisi par des députés de la majorité conduits par Barbara Pompili (photo). L’Assemblée nationale a adopté l’amendement et celui-ci figure bien dans la « petite loi ». Mais ce sont les Sénateurs qui, en totale contradiction avec leur vote sur la loi ELAN, ont supprimé l’amendement.

Le mot de la fin sera pour l’Assemblée nationale qui devrait examiner le texte dans le courant de la semaine prochaine. Le gouvernement à réintroduit l’amendement il a été adopté en commission. Il ne reste plus que son adoption en séance publique, pour qu’il fasse définitivement partie de la loi.

Des propositions d’amélioration du texte devraient même être déposées, en particulier pour permettre à des établissements raccordés au réseau en moyenne tension de participer à des projets d’autoconsommation collective. Ainsi, par exemple, l’excédent d’électricité solaire produit l’été par un lycée pourra être transféré à une maison de retraite voisine pour climatiser ses locaux.

La commission de régulation de l’énergie vient de reconnaître la compétitivité de l’énergie solaire. Mais la compétitivité économique ne suffit pas, il existe encore des poches de résistances qu’il faudra vaincre. Elles s’emploient à ralentir le développement d’une filière mature, créatrice de valeur et d’emplois locaux et permettant de produire une électricité maintenant compétitive et exempte de déchets.

Les résultats de la 5ème période de l’appel d’offres au sol ont été publiés sur le site du Ministère

Les résultats de la 5ème période de l’appel d’offres au sol ont été publiés sur le site du Ministère

Ministere_ecologie
118 nouveaux lauréats ont été désignés le 28 février 2019 pour la cinquième période de l’appel d’offres pour un volume total alloué de 855 MWc. Le prix moyen proposé par les lauréats est de 62,7 €/MWh pour l’ensemble des projets, soit une hausse de 3% par rapport à la période précédente. Pour chaque famille, le prix moyen proposé par les lauréats est de :

  • 56,8 €/MWh pour les installations de plus grande puissance, entre 5 et 30 MWc.
  • 63,8 €/MWh pour les installations de puissance comprise entre 500 kWc et 5 MWc.
  • 87,5 €/MWh pour les installations sur ombrières de parking.

L’analyse de cette période par la Commission de Régulation de l’Énergie n’est pas disponible pour l’instant mais devrait l’être sous peu sur le site de la CRE.

 

En PACA 3 projets captent 90% du volume total !!!

Téléchargez la liste des Lauréats AO CRE 4 sol Tranche 5

Record d’efficacité pour des panneaux solaires résidentiels

Record d’efficacité pour des panneaux solaires résidentiels

EPFL
Les panneaux photovoltaïques d’Insolight, standardisés pour une production en série, peuvent se targuer d’un rendement record pour des systèmes destinés au grand public: 29 %. Basés sur de minuscules cellules à haut rendement vers lesquelles la lumière est focalisée par des lentilles, ces modules proposent une approche nouvelle dans le domaine de l’énergie solaire.

En apparence, peu de choses les distinguent des panneaux photovoltaïques classiques installés sur les toits. Même taille, même épaisseur, même système de montage. Les modules en préproduction de la start-up Insolight se targuent pourtant d’un rendement de 29%, soit près de deux fois plus que les systèmes actuellement sur le marché (17 à 19% )1. Testés récemment par un laboratoire indépendant, ils utilisent un système optique patenté qui concentre la lumière sur un panel de petites cellules photovoltaïques normalement destinées à l’espace.

Augmenter l’efficacité en tenant compte du coût

Depuis le début des années 2000, l’efficacité moyenne des panneaux solaires commerciaux n’a augmenté que de 3,5 % d’après plusieurs sources et tendent à atteindre un plafond. Devant ce constat, les cofondateurs de la start-up basée à l’EPFL Innovation Park ont choisi une approche radicalement nouvelle : utiliser des cellules solaires destinées aux satellites, ultra performantes mais très onéreuses. Afin d’exploiter ce potentiel sans faire exploser les coûts pour l’utilisateur, les trois cofondateurs, alumni de l’École polytechnique fédérale de Lausanne, ont développé un verre protecteur où sont disposées des lentilles optiques qui concentrent plusieurs centaines de fois les rayons sur de très petites surfaces de cellules à haute performance. Celles-ci occupent ainsi moins de 0,5% de la superficie du panneau. Pour optimiser le système, une structure déplace le réseau de cellules horizontalement de quelques millimètres afin de suivre les rayons du soleil.

Les cellules à haut rendement n’occupant qu’une toute petite partie de la surface, le système peut même être assemblé comme une couche supplémentaire sur un panneau solaire standard afin de maximiser encore le rendement. « Cette approche hybride est particulièrement efficace dans des conditions nuageuses, où la concentration diminue, pour maintenir la production d’électricité lorsque la lumière est diffuse », souligne le CTO, Mathieu Ackermann.

Encastré dans un module très fin, ce dispositif a la même forme et la même apparence qu’un panneau standard et peut ainsi être monté de la même manière. Comme le souligne le CEO, Laurent Coulot, “pour le marché domestique, le vrai challenge n’est pas seulement d’augmenter le rendement mais de le faire d’une manière qui combine coût et efficacité, avec simplicité d’installation et durabilité”. Après avoir établi un premier record en laboratoire il y a deux ans (36%), le système désormais standardisé confirme sa performance avec un rendement de 29% validés par l’IES-UPM de l’Université de Madrid, alors que les panneaux actuellement sur le marché permettent une conversion de 17 à 19 %.

Les modules ont également été testés durant toute une année sur une installation pilote située sur les toits de l’EPFL. « Connectés aux réseau et monitorés en permanence, ils ont enduré sans problème des vagues de chaleur, des conditions hivernales, et des tempêtes », confirme en souriant le CTO.

Une réduction du coût de l’énergie jusqu’à 30%

Les panneaux de la start-up, promettent d’après les concepteurs, de meilleurs retours sur investissement que les modules photovoltaïques standards. “Notre technologie peut permettre de réduire les coûts de l’électricité jusqu’à 30% sur les toits des pays ensoleillés”, note le CEO. Le calcul, utilisé habituellement pour ce genre de comparaison, est basé notamment sur le prix des panneaux, leur durée de vie, leur rendement, le prix local de l’électricité, les conditions climatiques, les taux d’emprunt, ainsi que les éventuels coûts de maintenance et nettoyage 2. L’entreprise espère voir le premier produit Insolight sur le marché en 2022. Les trois cofondateurs, Laurent Coulot, Florian Gerlich et Mathieu Ackermann, qui se sont rencontrés durant leurs études à l’EPFL, discutent actuellement la vente de licences avec plusieurs fabricants de composants solaires. “La fabrication de ces panneaux implique quelques étapes supplémentaires d’assemblage, qui peuvent être ajoutées à la fin des lignes de production standard”, assure Laurent Coulot.

Meteocontrol lance le régulateur de centrale PV blue’Log XC

Meteocontrol lance le régulateur de centrale PV blue’Log XC

Le régulateur de centrale solaire blue’Log XC de Meteocontrol est désormais disponible et constitue, avec le régulateur blue’Log XM, une solution d’avenir pour la télésurveillance et la régulation des installations photovoltaïques, qui allie compatibilité, qualité des données et sécurité informatique pour une régulation rapide et précise de la puissance active et réactive. (suite…)

Esthétique : le photovoltaïque invisible, ça existe !

Esthétique : le photovoltaïque invisible, ça existe !

La société suisse Solaxess a installé 32 panneaux photovoltaïques blancs sur une façade (également blanche) d’un immeuble résidentiel à Boudry, près de Neuchâtel. Grâce à la technologie mise au point avec le CSEM, centre de recherche et de développement spécialisé notamment dans le photovoltaïque, qui permet d’intégrer un film filtrant à la surface des modules […]

Salon Intersolar Europe 2019 : Side event de l’OFATE sur les centrales PV au sol en France et en Allemagne

Salon Intersolar Europe 2019 : Side event de l’OFATE sur les centrales PV au sol en France et en Allemagne

En tant que partenaire du salon Intersolar Europe dans le cadre de « The smarter E Europe » (15-17 mai 2019), l’Office franco-allemand pour la transition énergétique (OFATE) organise en coopération avec Baywa r.e., le jeudi 16 mai 2019 de 15

2030, le solaire produira plus d’énergie que tout autre source d’énergie

Éditorial : « D’ici 2030, le solaire produira plus d’énergie que tout autre source d’énergie »

Walburga_Hemetsberger
Par Walburga Hemetsberger, directrice générale de « SolarPower Europe »

Aujourd’hui, l’énergie solaire est, dans le monde, la source de production dont la croissance est la plus rapide et dont le coût est le plus bas. Déjà, en 2018, la capacité photovoltaïque installée a été supérieure à toute autre technologie pour la production d’électricité. Dans l’Union Européenne, la puissance des nouvelles installations a augmenté de 36%, pour atteindre 8 GW en 2018. Pour les deux prochaines années, les énergies propres continueront à prospérer dans l’Union Européenne, notamment parce que plusieurs États membres choisissent le développement de l’énergie solaire pour atteigne leurs objectifs renouvelables en 2020. Autre bonne nouvelle, la France, l’Italie et l’Espagne verrons la puissance installée annuellement dépasser le gigawatt.

Plus que jamais, l’énergie solaire est prête à s’engager dans la prochaine décennie, soutenue par le nouvel objectif de 32% d’énergies renouvelables dans l’Union Européenne en 2030. L’adoption de « l’énergie propre pour tous les Européens » offre au secteur solaire un cadre politique solide qui ouvre la voie à des investissements solaires compétitifs.

Dans ce contexte positif, je suis très heureuse de ma nouvelle mission à la tête de « SolarPower Europe ». En collaboration avec notre équipe, je suis pleinement déterminée à concrétiser notre vision : faire que l’énergie solaire produise plus d’énergie que toute autre source d’énergie d’ici 2030 !

De nombreuses opportunités se présentent à nous, mais nous devons également nous préparer à relever quelques défis.

Le « paquet énergie-climat », qui garantit le droit à l’autoconsommation de l’énergie solaire et maintient le traitement prioritaire pour les installations solaires de petite taille, a eu beaucoup de succès. Nous devons maintenant veiller à ce que les États membres respectent leurs engagements et mettent en place des cadres nationaux pour soutenir la croissance future du solaire. Nous attendons avec intérêt d’examiner les plans « énergie-climat » ambitieux de tous les États membres de l’Union Européenne.

Le marché des contrats d’achat d’énergie renouvelable (PPA), aujourd’hui de l’ordre de 6 GW, devrait se développer en Europe. À ce jour, 162 entreprises se sont engagées à consommer de l’électricité produite à 100% à partir d’énergies renouvelables dans le cadre du programme RE100. Le plus grand PPA solaire au monde récemment signé en Espagne pour une puissance totale de 708 MW est très prometteur. Néanmoins, de nombreuses barrières doivent être levées pour permettre l’accès à des mécanismes de « garanties d’origine » transfrontalières.

L’industrie solaire européenne est à l’avant-garde en matière de Recherche & Développement et de fabrication d’équipements, d’onduleurs ainsi que de matières premières et de produits de traitement. Nous renforçons notre travail avec la Commission européenne pour mettre en place une stratégie industrielle qui soutienne un secteur solaire fort et compétitif. SolarPower Europe continuera à plaider pour une politique adéquate de l’offre, confortant au moins 300 000 emplois d’ici 2030.

Toutes ces opportunités et défis seront discutés lors du SolarPower Summit qui se tiendra les 6 et 7 mars à Bruxelles. Rejoignez-nous au Sommet pour façonner l’avenir de l’énergie solaire en Europe !

ASCA®, Oscar du meilleur film photovoltaïque pour 2019

ASCA®, Oscar du meilleur film photovoltaïque pour 2019

Moïra_Asses
Fondée en 1922 en Loire-Atlantique, la société ARMOR dispose d’un savoir-faire mondial inégalé dans la formulation d’encres et le dépôt de couches d’encres fines sur films très fins en roll-to-roll à grande vitesse. Sur la base de cette technologie, ARMOR a développé cinq new techs dont la branche ARMOR Beautiful Light, une production de film photovoltaïque organique ASCA®, quasiment décarbonée. 2019 : une année charnière pour ce film PV innovant suite aux partenariats noués avec des industriels du bâtiment…

Fabriquer 1,5 milliard de m² de ruban pour imprimante à transfert thermique de haute précision, telle est la performance annuelle qui positionne le groupe ARMOR en tant que leader mondial du secteur ! Est concernée par cette technologie roll-to-roll sur films fins la confection d’étiquettes codes barres pour tous types de produits, pour des denrées aux normes alimentaires, pour des tubes homéopathiques ou encore pour des textiles avec des étiquettes qui résistent au lavage. Une activité d’impression loin d’être cannibalisée par le digital mais qui en est au contraire très complémentaire ! Si la concurrence mondiale, notamment asiatique, est rude, la société ARMOR qui emploie 1800 personnes a su se moderniser pour demeurer compétitive à force de robotisation et d’optimisation des process de fabrication. Elle continue d’ailleurs à gagner de précieuses parts de marché sur toute la planète.

Du solaire sans terre rare, ni silicium

Autre activité historique d’ARMOR : les cartouches jet d’encre et laser. La gestion de cette activité est soumise à une politique RSE (Responsabilité Sociétale d’Entreprise) affirmée depuis 2004 et l’arrivée à la direction de l’entreprise de Hubert de Boisredon. Ce dernier a engagé l’entreprise dans une vraie mutation écologique via notamment un travail sur l’économie circulaire et une volonté marquée de remanufacturer les cartouches pour une deuxième vie. Le nouveau PDG a également lancé une grande réflexion autour des métiers de demain du groupe ARMOR liée à son savoir-faire unique.

Cinq new techs sont ainsi sorties du chapeau toute dans la même fibre sociétale et environnementale: impression 3D, film collecteur de courant dans des applications de stockage lithium-ion, films hautes performances dans des applications de capteurs haptiques pour une start-up californienne, encres spécifiques pour revêtement des sols en PVC et pour des applications textiles et enfin la création d’un film photovoltaïque organique ASCA®. Pour développer ce film OPV dont la R&D est assurée par les fonds propres de l’entreprise, ARMOR met à contribution sa technologie roll-to-roll sur films fins.

La ligne pilote qui est déjà une ligne industrielle permet de produire un million de m² de film solaire. « Notre film ASCA® est constitué de sept couches différentes, la couche centrale étant photo active grâce à des polymères organiques. Il n’y a ni terre rare, ni silicium dans les composants. Les couches intermédiaires orientent les électrons solaires vers les électrodes (cathode et anode). Le tout est encapsulé entre deux couches de films barrières pour assurer l’étanchéité et conforter une durée de vie donnée à dix ans sur des tests accélérés » précise Moïra Asses (photo), responsable du marketing et du développement commercial du film ASCA®. L’objectif d’ARMOR est de porter cette durée de vie à vingt ans dans des conditions outdoor type bâtiment, le film résistant à des températures comprises entre -40 et +80 °C.

Temps de retour énergétique de trois mois à peine

Réalisée à base de composés organiques, la fabrication du film ASCA® est également quasiment décarbonée. « Son temps de retour énergétique ne dépasse pas les trois mois. Le process de fabrication exige des températures maxi d’à peine 120°C » poursuit Moïra Asses. Pour l’heure, la puissance affichée du film ASCA® s’élève à 40 Wc le m². ARMOR vise les 80Wc dans les deux ans qui viennent. Et 120Wc au m² en 2024. La performance labo s’élève déjà à 130 Wc le m². L’intérêt de ce film réside aussi dans sa transparence de 20 à 30%.

Là aussi, ARMOR travaille à plus de clarté en tentant de rendre les électrodes transparentes et grâce à une réduction des espaces inter-cellules. Côté esthétique, trois couleurs au choix en développement : grise, verte ou rouge avec, bien sûr, des rendements différents en fonction de l’absorption des longueurs d’onde. Le film ASCA® peut être installé en surimposition de structures avec des adhésifs ou en lamination entre deux verres. « Il pourrait ainsi être utilisé comme verre teinté dans les pays chauds en tant qu’écran thermique capable, qui plus est, de fournir de l’électricité.

Autre facteur qui facilite son intégration est le fait qu’il soit flexible. Le film ASCA® peut être installé sur des surfaces non planes comme des textiles ou comme celles en Ethylene tetrafluoroethylene (ETFE). Ce film copolymère de l’éthylène et du fluoroéthylène transparent ou coloré, est utilisé notamment pour réaliser des couvertures ou des façades transparentes avec un design et des caractéristiques techniques et environnementales exceptionnelles. A l’instar de l’Allianz Arena du Bayern de Munich qui semble entouré de coussins molletonnés translucides. « On pourrait imaginer ces surfaces recouvertes de film ASCA® pour un stade à la fois protecteur, esthétique et producteur d’électricité. Un stade à dimension environnementale ! » évoque Moïra Asses.

2019, un tournant pour ASCA® by ARMOR

Les premières évidences commerciales pour le film ASCA®, ce sont les applications au bâtiment, là où se feront les plus gros volumes. Les équipes d’ASCA® by ARMOR sont à l’ouvrage depuis plus d’un an sur le sujet sous la marque ASCA® Structures. Un premier démonstrateur verra ainsi le jour en 2019 en France sur des serres maraîchères du côté de Nantes. « 2019 représente un tournant pour ASCA® by ARMOR. Nous avons noué des partenariats avec des industriels en tout genre désireux d’intégrer notre solution, et ce dans le monde entier.

N’oublions pas qu’ARMOR exporte 80% de son chiffre d’affaires qui se monte à 265 millions d’€ en 2018. En fait, nous ciblons les early adopters, ceux qui ont la même vision que nous, qui croient en l’avenir de la technologie et qui sont prêts à investir » confie Denis Bourène, responsable du développement chez ASCA®Structures. Son prix : la fourchette est large en fonction des paramètres de chantier, de 600 à 1200 € le m². Autre axe de développement : ASCA® Mobility dédié aux solutions nomades, à l’outdoor, dans les domaines militaires ou ceux de l’accès à l’énergie dans les pays tiers. ASCA® Mobility s’appuie également sur un « business developper » installé à Abidjan qui a passé un partenariat avec l’UNESCO.

Des écoliers du Togo profitent déjà le soir à la maison de leurs lampes solaires pour réviser leur devoir. La légèreté et la flexibilité du film ASCA® permet toutes les audaces comme solariser des bâches ou même des pirogues pour une cité lacustre au Bénin. « Le film ASCA®, c’est aussi la dimension humaine, pas que du business pur » conclut Moïra Asses. Et les déclinaisons d’ASCA® ne manquent pas. Le champ des possibles est immense voir infini.

Avec ASCA® Transport, ARMOR expérimente le moyen d’apporter davantage d’énergie au système de stockage dans les domaines du vélo, de l’aéronautique, drones compris, le ferroviaire ou le nautisme. Et que dire d’ASCA® Sensor pour toutes les applications en environnement indoor comme la domotique, les objets connectés et même le Li-Fi, le film ASCA® étant un excellent capteur Li-Fi. Par sa flexibilité, sa transparence, le film ASCA®est un véritable couteau suisse des applications solaires dans les domaines aussi divers que le bâtiment, le transport, la mobilité, la domotique… Voilà une technologie qui mérite bien un Oscar du meilleur film !

Plus d’infos…

J- 20 : Appel à candidature pour le concours Metha Europe de l’IMT (Institut Mines-Télécom)

J- 20 : Appel à candidature pour le concours Metha Europe de l’IMT (Institut Mines-Télécom)

Pour la 6ème année consécutive, IMT et EVER Monaco sont à nouveau partenaires dans l’organisation du concours METHA Europe. L’objectif ? Récompenser des idées ou concepts innovants liés au thème de la « Ville Durable ».

Divisé en 3 catégories (Ante-création, Développement,…

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